Avec l'été scolaire qui se profile (le dépôt de ma thèse est le 21 août), je doute que j'aurai beaucoup de temps pour écrire sur Interférences. Mais je tenais à donner quelques nouvelles en cette fin de saison.
À commencer par mentionner une dernière fois la prévente annuelle des Six Brumes, qui se termine dans quatre jours. Vous aimeriez découvrir une maison d'édition dynamique, passionnée par les littératures de genre ? Vous souhaitez que les Six Brumes consolident leur réputation de qualité plus élevée année après année ? Sans oublier d'encourager la République du centaure, devenue un acteur clef dans le milieu SFFQ.
Il y aura bientôt deux ans (déjà) que je travaille pour la revue Le Sabord, emploi lié à un type de publication que j'affectionne particulièrement, devenu en quelque sorte une spécialité personnelle dans le milieu de l'édition : celle des périodiques. Que ce soit comme coordonnatrice, coéditrice ou chroniqueuse, depuis ce printemps, j’œuvre pour quatre publications de ce genre, Brins d'éternité et Le Sabord, bien sûr, mais aussi Les Libraires (ma troisième chronique de l'imaginaire vient de paraître dans le no 101) et à présent Lettres québécoises (la nouvelle mouture vaut vraiment le détour).
Revenons au Sabord, qui prépare non pas un, mais deux lancements (20 et 22 juin) pour célébrer la parution de son numéro 107 (et la réédition de Nous ne sommes pas seules... d'Hélène Dorion et de Carol Bernier). Tous les détails sont plus bas. J'ai une affection certaine pour le sommaire de ce numéro, qui aborde avec des facettes multiples la thématique de l'Écho par l'entremise de dix auteurs et de sept artistes visuels. En plus, nous faisons tirer deux abonnements en ce moment, ça vous tente ?
Je vous souhaite donc un été des plus passionnants !
Et peut-être sortirai-je de mon ermitage de thèse périodiquement, qui sait ?