dimanche 5 février 2012

Babillard de février


- De retour, après plusieurs jours consacrés au montage du prochain numéro de Brins d'éternité. D'ailleurs, pour ceux qui ne seraient pas au courant, le lancement du numéro 31 aura lieu le 18 février, au Saint-Bock. Les informations sont ici. Aussi, avec cette édition, nous publierons pour la première fois un supplément en ligne. C'est à suivre !

- "Les dates de publication sont souvent sujettes à changement", me disait Frédérick, qui a publié plusieurs livres. "Il vaut mieux attendre de recevoir sa boîte d'exemplaires d'auteur pour annoncer quoi que ce soit", ajoutait-il. Eh bien, mea culpa, Frédérick, tu avais raison. Il est fort possible que Transtaïga paraisse un peu plus tard que prévu. Je n'avancerai aucune date, par précaution, et me contenterai de l'écrire ici lorsque je recevrai mes exemplaires. Et on ne me reprendra plus à annoncer des chiffres précis! (les chiffres et moi, de toute façon...)

- J'ai commencé à recevoir les évaluations finales de mon mémoire. Jusqu'à maintenant, c'est encourageant... Tout en indiquant que le dépôt final aura lieu bientôt. Comment ne pas être satisfaite, après tout le temps et l'énergie investis ?

- Autre petite joie personnelle : de temps à autre, je me donne le défi de parvenir à publier pour la première fois dans certaines revues. Dernièrement, un de mes textes s'est ainsi retrouvé au sommaire de Art : Le Sabord, et maintenant, c'est Moebius qui m'ouvre ses pages, dans son prochain numéro, à la très jolie thématique de "Passer l'hiver". Il ne me reste donc qu'à me lancer de nouveaux défis !

- Surveillez le dépliant du congrès Boréal, dans le prochain numéro de Brins d'éternité. Si vous n'êtes pas encore inscrit, voici l'occasion de le faire !

- Côté projets littéraires, je travaille en ce moment sur une nouvelle, afin de "m'aérer" l'esprit. En effet, je ressens actuellement le besoin de travailler sur autre chose qu'un roman. J'y reviendrai sous peu, mais avant, je tiens à écrire quelques textes brefs. Car, après tout, la nouvelle reste encore et toujours mon premier amour.

- Je termine avec un vidéo d'une chanson que j'écoutais pendant le montage de la revue. Je sais que je ne parle pas souvent de musique ici, mais ce n'est pas faute d'en écouter. Seulement, j'ai toujours été un peu intimidée - allez savoir pourquoi - de parler de mes goûts musicaux. Alors, voilà, pour l'instant, il me fait plaisir de partager avec vous une jolie pièce de Sigur Ros, groupe que j'écoute depuis des années (ce n'est pas un vidéoclip original, mais j'aime bien l'ambiance de celui-ci).

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6 commentaires:

  1. Si la date de sortie de ton livre n'a pas encore été annoncée officiellement, c'est sans doute parce qu'il n'a même pas été imprimé... Hé, c'est la vie!

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  2. Si tu continues à te lancer des défis, va falloir que tu commences à te traduire en russe pour avoir de nouvelles revues où publier! Hihihihi ;)

    Bravo pour le mémoire. Ça achève, ça achève!

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  3. Prospéryne : Tu as sans doute raison ! Et comme tu connais beaucoup mieux que moi les délais... (quoique, je sais que certains éditeurs impriment à la dernière minute, mais tout de même ;) ) Suspense, suspense...

    Geneviève : C'est vrai qu'avec le temps, les défis deviennent plus rares ! Mais, le temps d'apprendre le russe, je devrais effectivement être capable de me fixer de nouveaux défis héhé (c'est drôle que tu donnes justement cette langue en exemple, parce que j'ai longtemps souhaité l'apprendre)
    Et merci pour le mémoire, je sais que tu es bien placée pour comprendre, en tant que diplômée à la maîtrise (et si je me souviens bien, tu as aussi déposé un mémoire de taille colossale, que j'ai déjà consulté à l'UQAM, d'ailleurs, avant de te connaître - mais c'est une autre histoire...) Bref : foutus mémoires de 200 pages, ça ne nous facilite pas la tâche !

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  4. @Ariane : Lolol! Tu as déjà mis le nez dans "Le philhellénisme de Marcus Tullius Cicéron et Quintus Cicéron : réalités, motifs et impacts"?!?!? Hihihihihihi! Comique quand même.

    Mais oui, je comprends l'effort, l'essoufflement, l'écoeurement... Et le sentiment d'injustice qu'on éprouve en regardant ceux qui ont déposé un mémoire de 100 pages alors que nous on en a fait 200 (je crois que le mien n'en faisait "que" 160 par contre... et était constitué principalement de notes de bas de page!)

    Le pire, tant qu'à moi, a été le fait que le dépôt officiel a été effectué alors que je travaillais à temps plein comme prof, alors j'ai jamais eu le temps de fêter ça dignement.

    Donc mon conseil : quand ce sera déposé, prends le temps de célébrer!

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  5. Désolé pour le retard de Transtaïga. Comme tu le sais, je vis moi-même certaines incertitudes au sujet de la publication de mes romans. Au fond, ce n'est pas une course. En autant qu'ils publient nos bouquins (et que nous soyons ensuite généreusement rémunérés... ;))!

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  6. Geneviève : Eh oui, à l'époque où je suivais un cours avec Gaétan Thériault :)
    Et je prends en note ton très pertinent conseil de célébrer le dépôt final de mon mémoire comme il se doit, compte sur moi !

    Patrice : Je suis certaine que comme moi, tu n'es pas pressé. Le livre sera prêt en temps opportun, c'est tout :) Même si je comprends bien la fébrilité de tenir son premier livre entre ses mains (je suis passée par là, lorsque j'ai reçu ma novella !) Quant à la rémunération... (tousse !) eh bien... qui sait, ce serait peut-être un grand succès ? (mais tout de même, prévoir un plan B pour ta petite famille serait plus sûr, héhé)

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