mardi 9 juin 2015

25 ans plus tard

Cette fois, ça y est : me voilà (enfin) dans la dernière ligne droite de la rédaction de ma thèse, alias "le grand ermitage". Plus qu'un an, normalement, avant le dépôt initial. La partie création étant complétée (je ne crois pas que je me serais lancée dans un projet de cette envergure si je n'avais pu lui adjoindre un angle créatif), nous visons, ma directrice et moi, de finaliser la section théorique d'ici l'été prochain. Je dois admettre que je commence à avoir hâte de me délester de mon statut d'étudiante, qui m'accompagne depuis 25 ans (d'accord, 26, mais 25, c'est moins cruel à écrire). Mais, en attendant, voici une bande dessinée de PhD qui résume tout à fait ma situation à venir au cours des douze prochains mois :


Souhaitez-moi du courage ! (bon, j'avoue que j'exagère un peu : je ne serai pas que dans les ouvrages théoriques, j'ai tout de même les corrections d'un roman à finir. Et vous me connaissez, quand ça manque trop de fantaisie... Une photo de la Baie-James pour contrebalancer tout ça, quelques jours avant, justement, mon départ pour là-bas : )


4 commentaires:

  1. Chère Ariane, besogneuse, et courageuse, je suis admirative ..... Profite bien de la baie-James, ressource toi. Et n'oublie pas que j'attends ton nouveau roman. Car ensorcelée, envoutée je le suis à chaque fois. Courage, courage !!!!!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci beaucoup de tes encouragements, Christine, et ne t'en fais pas, je vais me ressourcer dans ces grands espaces que nous aimons tant ! Grands espaces qui inspireront, je n'en doute pas, les corrections de mon prochain roman... Suffit de s'y atteler avec constance ;)

      Supprimer
  2. Je te trouve tellement courageuse d'avoir entrepris le doctorat! Moi après la maîtrise, j'en avais assez des ermitages! :) Bonne chance pour le dernier droit! :)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci, Geneviève ! Mais c'est moi qui trouve les mères de jeunes enfants courageuses ;) Et une chance que j'ai une tendance naturelle à l'ermitage, sinon j'aurais certainement arrêté après la maîtrise. Mais bon, il faut croire que j'aime ça, à quelque part, le travail de recluse (et ensuite, dans les salons du livre, je deviens d'une insatiable sociabilité, héhé).

      Supprimer